Un contrôle technique digne de ce nom doit être suivi d’un test anti-pollution. Il s’agit de l’un des nombreux points de contrôles auxquels le véhicule est soumis lors du contrôle technique.
Le test anti-pollution permet de s’assurer que votre voiture ne pollue pas et donc ne met pas votre santé et celle des autres en danger. Vous pourrez en savoir plus ici.
Soumettre son véhicule à un test anti-pollution : une obligation !
Le test anti-pollution est une obligation à laquelle les propriétaires de véhicules particuliers et d’utilitaires légers doivent se soumettre. Il doit être effectué pendant le 11 ou le 12ème mois suivant le contrôle technique.
Durant le test, les indicateurs du véhicule relatifs à la pollution sont passés au peigne fin. Les contrôleurs se penchent principalement sur l’opacité des fumées d’échappement, la teneur en CO des gaz d’échappement et la mesure du lambda des gaz d’échappement.
Après le test, on procède au poinçonnement de la vignette présente sur le pare-brise. À ce niveau, 3 perforations sont effectuées pour indiquer l’année du contrôle anti-pollution, celle de la prochaine visite technique et le mois de ladite visite.
Il peut s’avérer que le véhicule contrôlé pollue. Si c’est le cas, alors il sera mentionné sur la carte grise la date de la contre-visite obligatoire qui devra se tenir au maximum 2 mois après. Par contre si la voiture n’est pas polluante, c’est la date de la prochaine visite technique qui sera marquée sur la carte grise.
Vous devez absolument respecter la date fixée pour cette contre-visite. Dans le cas contraire, une amende de 135 euros vous sera infligée. En outre, votre carte grise sera confisquée. Toutefois, vous en recevrez une autre provisoirement et devrez faire la contre-visite dans les 7 jours suivants.
